
Nom : Peter Brülisauer
Profession/position : Tax Partner, MME, Legal | Tax | Compliance, juge suppléant CRF TG
Famille : partenaire Elmir, chien (labrador) Pongo
Loisirs : musique, jass, navigation et famille
Ce texte est une traduction automatique révisée de l’article original en allemand. Changez les paramètres de langue pour lire l’article original en allemand. Vous ne voulez pas manquer un article en français? Abonnez-vous à notre newsletter.
Pourquoi êtes-vous devenu conseiller fiscal ? Qu’auriez-vous fait autrement ?
J’ai grandi dans un « bistrot de campagne » dans un village où il y avait plus de vaches que d’habitants. C’est au bistrot que se rencontraient jeunes et vieux, riches et pauvres, ceux qui réussissaient et ceux qui échouaient. Au bistrot, j’ai non seulement appris à jouer au jass, mais aussi à être à l’écoute de toutes sortes de personnes. C’est pourquoi j’ai toujours voulu avoir un contact avec les gens. Un jour, alors que je discutais avec un conseiller d’orientation professionnelle, celui-ci m’a dit qu’il me verrait bien devenir soit un pasteur, soit un juriste, soit un hôtelier, soit un musicien. C’est un peu par hasard que je suis devenu conseiller fiscal. La musique est devenue un hobby. J’aime les hôtels et les restaurants, car chez moi « beaucoup de choses » passent par l’estomac, ce qui ressort parfois (pas toujours) de ma silhouette.
Est-ce que vous vivez pour le droit fiscal ?
Je trouve le droit fiscal passionnant parce qu’il illustre la vie en commun entre les hommes, en d’autres termes : parce qu’il fait partie de notre vie et nous accompagne au quotidien. Presque tout ce que nous faisons a une composante fiscale et – bien plus encore – une composante humaine. Le droit fiscal est (seulement) le concept, les interactions entre les personnes sont le chemin. Pour moi, c’est un privilège d’être conseiller fiscal, car je suis quotidiennement en contact avec des personnes et je peux traiter ou vivre les situations de vie les plus diverses. Dans ce contexte, j’admets volontiers que je vis « un peu » pour le droit fiscal, qui est pour moi à la fois un métier et un hobby.
Avez-vous une devise de vie ?
Je vis selon la devise « work hard (smart serait mieux) et (parfois) play hard ». Pour moi, il est très important de profiter de la vie, de passer du temps avec ma famille et mes amis, de célébrer le succès quand il est là. J’aime aussi me battre, non pas pour l’argent, mais pour la cause. Parfois je suis gagnant et parfois je suis perdant, comme dans un jeu, ce qui n’est pas si grave, car on peut tirer quelque chose de chaque expérience.
Avez-vous une passion (secrète) (en dehors du droit fiscal) ?
J’ai quelques passions secrètes, mais il vaut mieux les laisser de côté. Je suis un passionné de jass, ce qui se traduit par le fait que je n’aime pas perdre au jass. Je préfère jouer avec des joueurs expérimentés ; il n’y a rien de plus ennuyeux qu’une personne qui met une demi-heure à décider si elle veut faire « unde » ou « obe ». L’autre passion, c’est la musique : sans musique, rien ne va ! En raison de mon amour pour la musique, j’ai également suivi des cours de chef d’orchestre en tant que clarinettiste pendant mes études, puis j’ai dirigé une fanfare pendant plus de cinq ans. J’espère qu’un jour, je pourrai à nouveau diriger une musique ! Et puis il y a ceci : J’ai aussi savouré l’Eurovision 2024, où Nemo a gagné pour la Suisse !
Qui ou quoi est votre muse ?
J’aime boire un bon verre de vin rouge (parfois un peu plus) en écoutant de la musique classique. Cela me permet de me déconnecter, de ralentir et de profiter tout simplement.
Qu’est-ce qui vous met en colère ?
Les gens qui ont des animaux domestiques, mais qui ne s’en occupent pas et les traitent mal.
Où se trouve votre destination de rêve ?
Profiter du soleil et de la mer dans un bel endroit du sud pendant les mois d’hiver. Et : assister « en direct » au concert du Nouvel An de l’Orchestre symphonique de Vienne.
Que faites-vous de votre temps libre ? En avez-vous vraiment ?
Les loisirs sont importants pour moi, et je m’accorde du temps pour cela. Je peux aussi ne rien faire et rester « paresseux ». Comme j’adore la navigation et que je veux faire une croisière depuis longtemps, ce qui n’a pas encore été le cas, je regarde parfois « Traumschiff » ou « Kreuzfahrt ins Glück » à la télévision. Nous aimons nous promener avec notre chien ou faire du vélo. Notre chien est aussi toujours avec nous lorsque nous partons en vacances ou au spa.
Qui souhaitez-vous absolument rencontrer pour une bière de fête ?
Un chef d’orchestre vedette, comme Christian Thielemann, avec qui je pourrais discuter de la motivation.
Y a-t-il quelque chose qui vous énerve dans le domaine fiscal ?
Le fait que le droit fiscal soit si dynamique et que je me sente toujours (parfois) comme un « débutant » dans le cadre du conseil : Non, cela ne m’énerve pas du tout, au contraire, cela me stimule ! Mais ce qui m’énerve, c’est qu’en matière d’informatique et de formulaires, nous sommes toujours très organisés au niveau cantonal, malgré l’harmonisation fiscale. Pour le reste, je suis un défenseur de la concurrence fiscale.
Croyez-vous en une puissance supérieure ?
Je ne sais pas si l’on peut parler d’une force supérieure. Mais je crois que tout nous revient d’une manière ou d’une autre, ou que dans la vie, on se rencontre toujours deux fois. J’essaie donc d’organiser ma vie de manière à pouvoir regarder mon interlocuteur dans les yeux à tout moment.
Quel conseil donneriez-vous à votre cadet ?
Être soi-même et rire de soi-même de temps en temps – c’est plus facile à vivre !
Avez-vous déjà eu de la chance ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
J’ai la chance d’être entouré depuis des années par les mêmes personnes dans mon cercle familial et amical, sur lesquelles je peux compter dans les bons comme dans les mauvais moments. Ces personnes me prennent comme je suis : parfois gentil, parfois fatigant et énervant, mais toujours avec le cœur ; Peter Brülisauer, tout simplement. Et je suis heureux d’avoir pu, il y a deux ans, « tomber amoureux » encore une fois comme un adolescent. Je suis très reconnaissant à mon partenaire Elmir pour cela !
Sur quoi avez-vous radicalement changé d’avis et pourquoi ?
Le fait que l’établissement stable bénéficie d’une fiction d’indépendance absolue en droit fiscal et non d’une fiction d’indépendance limitée, ce que je défendais dans le cadre de ma thèse de doctorat. Pourquoi : je suppose que je n’ai vraiment compris le concept d’établissement stable qu’au cours de mes consultations pratiques.
Révision par Nicole Stucki-Racle
